jeudi 24 septembre 2009

Décalage temporel.


People say 'Everything happens for a reason.' These people are usually women. And these women are usually sorting through a break-up. It seems that men can get out of a relationship without even a 'Goodbye,' But, apparently, women have to either get married or learn something.
-Sex and the city, Carrie Bradshaw.

mardi 22 septembre 2009

Rules to live by.


Don't get tricked into asking him out. If he likes you, he'll do the asking.

If you can find him, then he can find you. If he wants to find you, he will.

Men don't forget how much they like you. So put down the phone.

If he's not calling you, it's because you are not on his mind.

If he creates expectations for you, and then doesn't follow throught on littles things, he will do the same for big things. Be aware of this and realize that he's okay with disapointing you.

Don't be with someone who doesn't do what they say they're going to do.

People tell you who they are all the time. When a man say's he cant be monogamous, you should believe him.

Your lost self-esteem may take longer to find than a new boyfriend, so prioritize accordingly.

Bad boys are actually bad.

Life is hard enough as it is without choosing someone difficult to share it with.

No answer is your answer.

samedi 19 septembre 2009

Expérience érotique.

Un jour un ami, érotique et quasi criminel, m'a offert un steak acheté pas cher à un gang de son quartier spécialisé dans le vol de viande sur commande et à l'étalage. J'étais tellement touché et si retourné que je n'ai jamais pu le manger. La viande est toujours dans mon réfrigérateur et à chaque accès de romatisme, j'ouvre la porte du freezer et je la contemple.
-John Waters
cinéaste.

mardi 15 septembre 2009

Geek love


J'ai une confession à faire: j'ai un faible pour les nerds, les geeks et les excentriques. Présentez moi un sportif, musclé, mannequin à ses heures et je n'aurai de yeux que pour son partenaire de labo: mince, silencieux et fan de bandes dessinées. Bef, je choisirais Clark Kent à la place de Superman n'importe quand.
Depuis l'adolescence c'est la même chose. Alors que je vois les filles autour de moi tomber comme des mouches pour les types joueurs-de-football-joueur-de-hockey-grands-forts-musclés, moi, je reste de marbre. Par contre, mon coeur chavire chaque fois que, dans la rue, le métro, à «Aux Vivres» ou dans un bar du Mont-Royal, mon regard croise celui d'un de ces écrivains, musiciens ou génies de toute sortes, tourmentés et un brin mésadaptés socialement.
En fait, mon homme idéal aurait le charme troublant de Rivers Cuomo, l'intelligence de Woody Allen et le look de Seth dans The O.C. (qui, avec ses airs de nerd, m'a immédiatement conquise. Beaucoup plus que Ryan le bad boy).
Je ne suis cependant pas la seule à aimer ces atypiques hommes alpha : prenons l'exemple de Kate Moss, peut-être un des visages les plus iconique de notre temps, qui est tombée pour le maigrelet et timide éditeur en chef de Dazed and Confused, Jefferson Hack. Ce dernier est d'ailleurs le père de sa fille Lila et est aujourd'hui marié à la superbe mannequin Anouk Lepere.
Autre exemple, la sex-symbol française Jane Birkin qui fut éperduement amoureuse de Serge Gainsbourg: petit avec un énorme nez et les oreilles décollées.
Plus récemment, il y a eu Mandy Moore, qui a épousé le chétif et marginal Ryan Adams ou encore Zooey Deschanels qui a fiancée Ben Gibbard, l'âme torturée qui se trouve derrière la musique de Death Cab for Cutie. Finalement, même la superbe Nathalie Portman a succombé au charme de l'étrange, mais musicalement génial, Devendra Banhart.
Tout ça pour dire que certaines d'entre nous apprécient encore les hommes qui ont développé leur cervau à défaut de leurs biceps. Ces joueurs de dongeons et dragons qui ne peuvent peut-être pas vous lever sur leurs épaules mais en revanche peuvent démonter et remonter votre ordinateur, citer Einstein ou encore vous écrire romans et chansons d'amour, sont, à mon avis, les vrais princes charmants.

dimanche 13 septembre 2009

samedi 12 septembre 2009

That Super Cute Quirky Girl From that Movie



bonerparty:


Fellas: we’ve got some bad news for you. The adorable female lead from your favorite quirky movie would be an obnoxious maniac if she were a real person.
If we have to see one more movie where Natalie Portman or Zooey Deschanel play delicate little quirkmuffins, we’ll probably enjoy it, buy the DVD, and start a Facebook group about it. BUT THEN we’d realize that those girls don’t exist in reality, and their closest real world approximations are usually total basket cases with daddy issues and a purse full of meds.
Allow us to break the illusion for you and show you how shit would go down, real world vs. movie world.
Movie World: Super cute quirky girl (SCQG) puts headphones on you and plays you a song that melts your little heart.
Real World: You’ve already heard the song, and you pretend to be impressed. However, she can see through it and gives you the silent treatment for the rest of the day.
Movie World: SCQG tells you that you two are going for a ride. When you ask her where you’re going, she puts a blindfold on you and says, “it’s a secret.” Then the two of you sneak into the natural history museum after hours and make out in the dinosaur room.
Real World: The secret place she takes you to is her coke dealer’s house, and he makes you watch mildly pornographic movies where women fight each other.
Movie World: Cute girl invites you over to make a pillow fort. You two spend the evening eating s’mores under blankets and playing records, and then she dares you to kiss her!
Real World: Same scenario, but replace all the fun stuff with: the pillow fort reminds her of a traumatic childhood experience that she refuses to explain. You spend the rest of the night asking her, “What’s wrong,” and offering her tissues.
Movie World: After an intense shared experience, super cute quirky girl cuts all of her hair off in an adorable pixie cut and begins speaking with a british accent because she’s “starting over.”
Real World: After chasing xanax and vicodin with a bottle of red wine, she shaves her head unevenly and passes out at your cousin’s wedding.
Movie World: Your artsy, adorable crush constructs a scavenger hunt for you with step by step instructions. You have to take a picture of a smiling baby, find a cloud that looks like a sleeping lion, and release 5 balloons into the air. The final step of the scavenger hunt takes you to a rooftop, where she got your favorite indie band plays a private concert for the two of you.
Real World: She kills herself.
There it is, guys. Quirky and adorable movie girls may not exist in real life, but look at it this way, at least it’s been five years and Zach Braff still hasn’t made another movie.

Text from: http://bonerparty.tumblr.com/

vendredi 11 septembre 2009

Raisons de rechercher l'homme-alpha:














1. J'ai déja des amies, merci.
2. J'en ai asser de payer des verres à des gars qui ne veulent même pas coucher le premier soir.
3. Parce qu'à 11h30 tout les jours, je regarde avec nostalgie par la fenêtre du bureau en me demandant ce qu'il est devenu le gars de l'annonce coca-cola. Vous savez, celui avec les gros bras qui transpirait si bien dans son vieux pick-up.
4. Et puis, les hommes sensibles, c'est passé de mode. Maintenant, on veut du rock, un Pete Doherty et des anecdotes de soirées qui finissent en prison.
5. Parceque personne n'ose plus m'opposer un « Ta gueule» définitif quand je pique des crises. Alors que moi, je ne supporte plus de m'entendre hurler.
6. J'en ai asser de porter la culotte alors que j'ai juste le gout d'être en string.
7. Ma mère était peut-être féministe mais moi, je déteste Isabelle Alonso et toutes celles qui ont convaicu les hommes de me laisser payer une fois sur deux au resto.
8. Et finalement, si ça continue, que les choses soient claires: je vais finir par me tirer avec un plombier polonais..

« Ulrica m’invita à m’assoir à sa table. Elle me dit qu’elle aimait se promener seule. Je me souvins d’une plaisanterie de Schopenhauer et je lui répondis :
-Moi aussi. Nous pouvons donc sortir ensemble ».

–Jorges Luis Borges, Le livre de sable.

mercredi 9 septembre 2009


Petit suicide

J'entrai et la pris dans mes bras. Je sentis ses ongles sur ma nuque. Elle sanglotait. Je savais qu'il ne s'agissait ni de moi ni d'elle. Il s'agissait de dénuement. C'était seulement un moment d'entraide. Nous avions besoin d'oubli, tous les deux, de gîte d'étape, avant d'aller porter plus loins nos bagages de néant. Il fallut encore traverser le désert ou chaque vêtement qui tombe, rompt, éloigne et brutalise, ou les regards se fuient pour éviter une nudité qui n'est pas seulement celle des corps, et ou le silence accumule ses pierres. Deux êtres en déroute qui s'épaulent de leur solitude et la vie attend que ça passe. Une tendresse désespérée, qui n'est qu'un besoin de tendresse. Parfois nos yeux se cherchaient dans la pénombre pour braver le malaise. Une photo de fillette sur la table de chevet. Un portrait maladroit, sans doute peint de mémoire. Ce que nous avions de commun était chez les autres mais nous unissait le temps d'une révolte, d'une brève lutte, d'un refus du malheur. Ce n'était pas entre nous deux: c'était entre nous et le malheur. Un refus de s'aplanir sous les roues, d'ainsi soit-il. Je sentais ses larmes sur mes joues. J'ai toujours été incapable de pleurer et c'était un soulagement qu'elle m'offrait. Dès qu'il y eut, chez elle, regret ou remords, chute, gêne et culpabilité, elle se leva, mit un peignoir, alla se recroqueviller dans un fauteuil, les genoux sous le menton. Je ne m'étais encore jamais vu un tel inrus, dans un regard de femme.
-Je vous en prie, dit-elle.
-Bien.
Mes vêtements trainaient sur la moquette et je commençai à les remplir.
-Je ne sais pas du tout pourquoi j'ai fai ça...
-Petit suicide, dis-je.
Romain Gary
Clair de femme.

mardi 8 septembre 2009

Wisdom and the city?

“Does anybody really know when it’s right? And how do you know – are there signs? Fireworks? Is it right when it feels comfortable or is comfortable a sign that there’s no fireworks?Is hesitation a sign that it’s not right, or is it just a sign that you’re not ready? In matters of love how do you know when it’s right?” -Carrie Bradshaw

Ainsi parlait Zarathoustra

J'aime ceux qui ne savent pas vivre, à moins qu'ils ne vivent dans le déclin et le franchissement.
J'aime ceux qui sont pleins d'un grand mépris, parce que ce sont eux qui vénèrent et qu'ils sont des flèches du désir d'aller vers l'autre rives.
J'aime ceux qui ne vont pas tout chercher par-delà les étoiles une raison pour décliner et être des victimes: mais ceux qui se sacrifient à la terre, afin que la terre soit un jour celle du surhumain.
J'aime celui qui vit afin de connaître et celui qui veut connaître afin qu'un jour vive le surhumain.
Ainsi il veut son déclin.
J'aime celui qui travaille et invente afin de bâtir la demeure du surhumain et préparer pour lui terre, bête et plante: car ainsi il veut son déclin.
J'aime celui qui aime sa vertu car la vertu est volonté de déclin et une flèche du désir.
J'aime celui qui ne garde pas pour lui une seule goute d'esprit,mais qui veut être entièrement l'esprit de sa vertu : c'est ainsi qu'en tant qu'esprit, il franchit le pont.
J'aime celui qui veut faire de sa vertu son penchant et sa fatalité: c'est ainsi qu'il veut encore vivre au nom de sa vertu et qu'il ne veut plus vivre.
J'aime celui qui ne veut pas avoir trop de vertus. Une vertu est davantage vertu que deux, parce qu'elle est davantage noeud auquel se pend la fatalité.
J'aime celui dont l'âme se prodigue, qui ne veut pas de gratitude et qui ne rend rien: car il donne toujours et ne veut point se réserver lui-même.
J'aime celui qui a honte quand le dé tombe à son avantage et qui demande alors: suis-je donc un tricheur? - Car il veut son déclin.
J'aime celui qui fait précéder ses actes de paroles d'or et qui tient toujours plus qu'il ne promet: car il veut son déclin.
J'aime celui qui justifie ceux qui viendront dans l'avenir et qui délivre ceux qui sont venus dans le passé: car il veut périr de ceux qui sont présents aujourd'hui.
J'aime celui qui châtie son dieu parce qu'il aime son dieu: car il faut périr de la colère de son dieu. J'aime celui dont l'âme est profonde même dans la blessure et qui peut aussi périr d'une chose insignifiante: ainsi il franchit volontier le pont.
J'aime celui dont l'âme déborde, de sorte qu'il s'oublie lui-même et que toutes choses soient en lui: toutes choses ainsi deviennent so déclin.
J'aime tout ceux qui sont comme de lourdes gouttes tombant, une à une, du nuage sombre suspendu au-dessus des humains: ils annoncent la venue de la foudre et périssent, annonciateurs.
Voyez, je suis un annonciateur de la foudre et une lourde goutte est tombée du nuage: cette foudre a pour nom le surhumain.

lundi 7 septembre 2009

samedi 5 septembre 2009

Hi, my name is :

1. Je pourrais vivre le restant de mes jours en ne mangeant que des sushis et du chocolat.
2. Je suis une très grande fan de l'astrologie et y croit dur comme fer. (Cela calme mes angoisses existentielles. Il faut bien chercher Dieu quelquepart)
3. Mon signe astrologique est gémeaux et j'en suis très fière.
4. J'ai la larme extrèmement facile.
5. Sans me définir comme féministe (je crois encore en la nécessité de l'homme-pilier pour la femme moderne) je trouve tout de même qu'être une femme dans notre société est plus difficile que cela ne devrait l'être. Mais, cette difficulté accorde encore plus de prestige à nos réussites.
6. J'ai souvent l'impression de rien connaître du tout et c'est ma plus grande insécurité publique.
7. Si je pouvais avoir un seul pouvoir magique, ce serait de toujours me souvenir de tout ce que j'entends. (Comme ça j'enraillerais mon impression d'ignorance.)
8. Je suis très féminine et change ma couleur de vernis à ongle aux 48 heures.
9. Peu importe mon poids, je ne me trouve jamais asser mince et cela depuis toujours.
10. Cependant, je me trouve extrèmement superficielle de dire cela et remercie Dieu chaque jour de ne pas être malade ou handicapée.
11. Je crois en Dieu.
12. Il m'est impossible de me concentrer avec du désorde autour de moi.
13. J'aime fumer la cigarette et trouve cela sexy.
14. Je ne peux pas fréquenter un homme qui ne fume pas.
15. J'ai un fétiche lié à la lingerie et en achète beaucoup trop.
16. J'ai besoin de faire des plans constamment sinon j'angoisse.
17. Je suis au courant que je peux être très fatigante avec le no.16 mais c'est plus fort que ma volonté.
18. J'ai très très peur de ne jamais trouver l'homme de ma vie.
19. Je pourrais tomber amoureuse d'un homme pour sa bibliothèque.
20. Je fais des scénarios dans ma tête constamment et les confonds parfois avec la réalité.
21. Par momments, je regarde mes ami(e)s et ressens une vague d'amour incroyable qui me fait inévitablement pleurer.
22. Je n'ai pas d'amiEs à l'université et j'ai de la difficultée à comprendre pourquoi.
23. Mon idéal de style est Carrie Bradshaw (donc Patricia Field)
24. Je connais tous les épisodes de sex and the city par coeur. vraiment.
25. J'ai pris des cours de pole dancing, m'en suis fait installé un chez moi, mais suis incapable de me prendre au sérieux autour de ce dernier.
26. Tout ce que je viens d'énumérer pourrait changer sans préavis demain matin .