Côté shopping, elle apprécie le classicisme de Saint Laurent, les couleurs des chaussures Jimmy Choo, et Sonia Rykiel pour tous les jours.
Elle dit chercher un appartement plateau Mont-Royal, 80-100m², exposé au sud, adore prendre son café au Olympico et ne boit que des latte sans sucre. Le mile-end, c’est le quartier qu’elle préfère. Elle achète ses chaussures Pierre Hardy en ligne et ses produits végétariens sur St-Denis. Gouailleuse et pleine d’énergie, elle dit connaître les prénoms de tous les commerçants de son quartier. Elle ne tarit pas d’éloge sur son fleuriste boulevard Saint Laurent, qui lui dépose, chaque semaine, dans un grand vase de son salon, une branche d’arbre en fleurs!
Elle se sent montréalaise car elle a une vie de quartier. Mais aussi grâce à la nuit où elle rencontre beaucoup de gens. «La nuit montréalaise, cela fait de vous une montréalaise, non?» Ses adresses : Aux vivres et la Quincaillerie. Toujours les deux mêmes, en boucle et pour toujours!
«Moi, maintenant, je ne suis plus apatride, je suis montréalaise car je connais des gens!».
La preuve, elle cours les lancements littéraires, les samples sales, rue chabanel, et a toujours une place, première rangée, durant la semaine de la mode. Elle adore les cupcakes de Crazy about cupcakes, fréquente Lemeac, avenue Laurier, dans Outremont, fredonne les chansons de Jean Leloup accompagné d’une guitare et de succulents verres de vin rouge chez ses copines. Sa librairie favorite? Le Port de tête pour ses soirées, Le marché du livre pour ses usagés.
De Montréal, elle aime les ponts, les voies ferrées et les ciels. Plus pragmatique, elle cite la rue Prince-Arthur pour ses restaurants et les pierres qui en pavent le chemin. Elle ne se déplace qu’en taxi, ou à pied. Le métro, elle l’emprunte parfois pour la ligne orange, entre baubien et sherbrooke.
En vrac, pour elle, «être québécoise et montréalaise c’est un compliment. La montréalaise est une femme affranchie. Comme si on était la plus élégante, comme si l’on pouvait séduire tout les hommes»...
Elle dit chercher un appartement plateau Mont-Royal, 80-100m², exposé au sud, adore prendre son café au Olympico et ne boit que des latte sans sucre. Le mile-end, c’est le quartier qu’elle préfère. Elle achète ses chaussures Pierre Hardy en ligne et ses produits végétariens sur St-Denis. Gouailleuse et pleine d’énergie, elle dit connaître les prénoms de tous les commerçants de son quartier. Elle ne tarit pas d’éloge sur son fleuriste boulevard Saint Laurent, qui lui dépose, chaque semaine, dans un grand vase de son salon, une branche d’arbre en fleurs!
Elle se sent montréalaise car elle a une vie de quartier. Mais aussi grâce à la nuit où elle rencontre beaucoup de gens. «La nuit montréalaise, cela fait de vous une montréalaise, non?» Ses adresses : Aux vivres et la Quincaillerie. Toujours les deux mêmes, en boucle et pour toujours!
«Moi, maintenant, je ne suis plus apatride, je suis montréalaise car je connais des gens!».
La preuve, elle cours les lancements littéraires, les samples sales, rue chabanel, et a toujours une place, première rangée, durant la semaine de la mode. Elle adore les cupcakes de Crazy about cupcakes, fréquente Lemeac, avenue Laurier, dans Outremont, fredonne les chansons de Jean Leloup accompagné d’une guitare et de succulents verres de vin rouge chez ses copines. Sa librairie favorite? Le Port de tête pour ses soirées, Le marché du livre pour ses usagés.
De Montréal, elle aime les ponts, les voies ferrées et les ciels. Plus pragmatique, elle cite la rue Prince-Arthur pour ses restaurants et les pierres qui en pavent le chemin. Elle ne se déplace qu’en taxi, ou à pied. Le métro, elle l’emprunte parfois pour la ligne orange, entre baubien et sherbrooke.
En vrac, pour elle, «être québécoise et montréalaise c’est un compliment. La montréalaise est une femme affranchie. Comme si on était la plus élégante, comme si l’on pouvait séduire tout les hommes»...
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