Depuis que je tai déçu, tu ne me touche plus. Tes doigts ne cherchent plus mes cheveux, tes lèvres ne veulent plus de mes cuisses. Tu ne me parle presque plus non plus. Tu me répond. La nuit, maintenant, quand je me réveille parceque ton chien me liche les orteils, tu ne veux plus que j’interrompe ton sommeil pour te le dire et coller mes pieds contre les tiens. Le soir, tu t’allonges tout habillé et tu attends que je sois endormie pour te glisser, avec moi, sous les draps. Le matin, tu m’évite, tu dis vouloir te brosser les dents. Tu mens…
Et moi, je t’attends.
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